Elections cantonales 2025: Mobilisons-nous, il est temps!

Face à un contexte géopolitique instable, une concurrence économique exacerbée et une montée en puissance des idées de gauche, notre canton a besoin d’une droite forte et mobilisée. En 2025, l’enjeu est clair: défendre les valeurs libérales-radicales, conditions essentielles d’une économie prospère et résiliente. Mobilisons-nous pour garantir un avenir attractif à notre République, écrit Jean-Daniel Jeanneret, vice-président du PLRN, dans les colonnes de Libertés neuchâteloises.

Depuis quelques années nous observons un glissement de notre pays, et singulièrement de notre canton, vers des dispositifs légaux inspirés par la gauche.

Dans le même temps, le reste du monde semble plutôt se droitiser (et quelques fois un peu trop à mon goût) rendant la concurrence économique de plus en plus complexe et féroce. A cela s’ajoute, et cela en est peut-être la cause, un environnement géopolitique instable et anxiogène. Aujourd’hui clairement, les fondamentaux libéraux-radicaux garants de nos institutions s’érodent. Ce constat devrait nous alarmer et nous mobiliser; or, au contraire on ressent une timidité grandissante à s’engager activement pour la défense de nos valeurs libérales, conditions d’une économie saine.

Les syndicats, avec dans leurs sillages une gauche galvanisée, imposent aujourd’hui de plus en plus de contraintes affectant nos capacités concurrentielles et notre résilience de l’innovation. En face… une droite timide où les gens de terrain, ceux qui dirigent nos entreprises, celles et ceux qui y travaillent, sont les grands absents.

En 2025, l’enjeu sera crucial pour le canton de Neuchâtel. Une double majorité de gauche ne ferait que rendre notre République encore moins attractive. Nous avons une responsabilité personnelle et collective à ce que ce ne soit pas le cas.

Il est temps que le monde économique comprenne que la politique n’est pas une chose honteuse, mais que c’est bien la politique qui façonne les conditions cadres de notre économie. Rester en retrait, neutre tout en n’en pensant pas moins, est une attitude certes confortable, mais dangereuse pour notre prospérité. Soutenir financièrement le PLR est un premier geste pour permettre une campagne forte. Mais avoir une liste forte au Grand Conseil serait sans nul doute le meilleur moyen d’endiguer la marée rouge-verte.

Que les capitaines d’industrie, les patrons d’entreprises, les cadres et les employés convaincus par nos valeurs s’investissent – ou puissent le faire - au sein de notre parti en figurant sur la liste PLR du Grand Conseil! Car souvenez-vous de ce que disait Peter Drucker: "le meilleur moyen de prédire l’avenir, c’est de le créer".

Jean-Daniel Jeanneret, vice-président du PLRN, chargé des sections